Un air de qualité pour la santé et le bien-être dans tous les espaces de vie
Covid 19 : la crise sanitaire et la mesure du CO2
Les virus se propagent principalement par voie aérienne (aérosols). La respiration des personnes produit de minuscules gouttelettes qui peuvent flotter longtemps dans l’air. Les espaces clos présentent donc un risque important de transmission de particules virales.
On comprend donc l’intérêt de mesurer les niveaux de CO2 dans l’air ambiant : plus l’air est confiné, plus il y aura de CO2 et plus le risque de transmission est élevé si une ou plusieurs personnes infectées se trouvent à l'intérieur.
Les experts sont unanimes : une des solutions au problème sanitaire que nous vivons est la ventilation assistée par la mesure de la qualité de l’air ambiant.
Bien-être et productivité
Produit par notre respiration, le CO2 s'accumule dans l'air ambiant. Présent en excès, il provoque somnolence, fatigue intellectuelle et maux de tête. Le problème est particulièrement sérieux dans les locaux occupés par plusieurs personnes: bureaux, salles de réunion, de sport, de spectacle, classes, crèches, ...
Il n’y a pas que le dioxyde de carbone qui est nocif dans l’air que nous respirons. En effet, de nombreux gaz toxiques sont émis par les produits d’entretien, par les colles et solvants qui s'échappent du mobilier et des revêtements de décoration.
On est moins souvent malade et on travaille mieux dans un air de bonne qualité.
L'humidité relative (HR), moisissures, acariens et allergies...
Les indicateurs Climi mesurent également un paramètre important: l’hygrométrie. Un air trop sec peut provoquer irritation du nez, de la gorge et, pour certaines personnes, des difficultés respiratoires. Un air trop chargé en vapeur d'eau est favorable au développement de moisissures et à la prolifération des acariens, facteurs de réactions allergiques. On considère généralement que le taux d'humidité relative devrait se situer entre 30 et 60 %.